Quand les Mourabitoune deviennent vitrines publicitaires: la FFRIM dépassée

Les Mourabitounes se retrouvent au centre d’une vive polémique après la diffusion d’images montrant trois internationaux promouvant le maillot d’un club de Super D2 sponsorisé par une application financière. II n’en fallait pas plus pour embraser la toile. Derrière cette communication confuse, c’est tout un système de gestion et de contrôle au sein de la sélection nationale qui semble remis en question.
Une scène inhabituelle a suscité de vives réactions avant le match officiel entre la Mauritanie et le Sénégal (0-4). Trois joueurs des Mourabitounes sont apparus, vêtus de survêtement officiel , en train de promouvoir celui d’un club de Super D2 sponsorisé par une application financière. Une initiative jugée inappropriée et symptomatique d’un profond manque de professionnalisme.
Selon plusieurs observateurs, qu’il s’agisse d’une démarche individuelle ou d’une opération validée par la direction technique, le geste demeure une faute de communication grave. L’équipe nationale, symbole de l’unité et de l’image du pays, ne saurait être utilisée comme plateforme publicitaire.
Ce dérapage intervient dans un contexte déjà tendu, marqué par des critiques sur la gestion interne de la Fédération mauritanienne de football (FFRIM). L’affaire met en lumière l’absence apparente de code d’éthique et de règlement intérieur clair encadrant les droits d’image des internationaux.
Dans la plupart des fédérations à travers le monde, ces droits sont strictement gérés par les instances dirigeantes, qui redistribuent éventuellement une part aux joueurs. En Mauritanie, cet épisode soulève de nombreuses interrogations :
comment une telle opération commerciale a-t-elle pu être menée sans validation officielle ? La FFRIM était-elle informée, voire complice ?
Force est de constater que cette opération de communication maladroite soulève des questions sur la gestion interne et la gouvernance de la sélection nationale.
Cette confusion traduit un déséquilibre inquiétant au sein du groupe national, où certains observateurs dénoncent un vestiaire miné par le favoritisme et le manque de discipline.
Une situation d’autant plus surprenante que la FFRIM avait déjà encadré par le passé des actions de promotion — notamment avec l’Agence pour la Promotion des Investissements en Mauritanie (APIM) — limitées aux maillots d’entraînement ou survêtements officiels.
Cette nouvelle affaire met à nu des failles structurelles dans la gouvernance de la sélection, à un moment où le football mauritanien cherche encore à gagner en crédibilité et en professionnalisme sur la scène continentale.
Une scène inhabituelle a suscité de vives réactions avant le match officiel entre la Mauritanie et le Sénégal (0-4). Trois joueurs des Mourabitounes sont apparus, vêtus de survêtement officiel , en train de promouvoir celui d’un club de Super D2 sponsorisé par une application financière. Une initiative jugée inappropriée et symptomatique d’un profond manque de professionnalisme.
Selon plusieurs observateurs, qu’il s’agisse d’une démarche individuelle ou d’une opération validée par la direction technique, le geste demeure une faute de communication grave. L’équipe nationale, symbole de l’unité et de l’image du pays, ne saurait être utilisée comme plateforme publicitaire.
Ce dérapage intervient dans un contexte déjà tendu, marqué par des critiques sur la gestion interne de la Fédération mauritanienne de football (FFRIM). L’affaire met en lumière l’absence apparente de code d’éthique et de règlement intérieur clair encadrant les droits d’image des internationaux.
Dans la plupart des fédérations à travers le monde, ces droits sont strictement gérés par les instances dirigeantes, qui redistribuent éventuellement une part aux joueurs. En Mauritanie, cet épisode soulève de nombreuses interrogations :
comment une telle opération commerciale a-t-elle pu être menée sans validation officielle ? La FFRIM était-elle informée, voire complice ?
Force est de constater que cette opération de communication maladroite soulève des questions sur la gestion interne et la gouvernance de la sélection nationale.
Cette confusion traduit un déséquilibre inquiétant au sein du groupe national, où certains observateurs dénoncent un vestiaire miné par le favoritisme et le manque de discipline.
Une situation d’autant plus surprenante que la FFRIM avait déjà encadré par le passé des actions de promotion — notamment avec l’Agence pour la Promotion des Investissements en Mauritanie (APIM) — limitées aux maillots d’entraînement ou survêtements officiels.
Cette nouvelle affaire met à nu des failles structurelles dans la gouvernance de la sélection, à un moment où le football mauritanien cherche encore à gagner en crédibilité et en professionnalisme sur la scène continentale.