Mourabitounes : une élimination au goût amer, entre répétitions et regrets

Les Mourabitounes voient s’éteindre, une nouvelle fois, leurs rêves continentaux. Après l’épopée de 2023, où la sélection nationale avait réussi à se hisser en quarts de finale du CHAN, l’histoire s’est cette fois écrite autrement. Cruel destin : la Mauritanie a été éliminée d'un point d'écart, lors des éliminatoires de la CAN 2025, malgré des performances honorables, avant de connaître un sort similaire au Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) 2024.
CAN 2025 : le poids d’un nul manqué
La campagne mauritanienne s'était achevée, avec une victoire précieuse contre le Cap-Vert (1-0). Ce succès plaçait les hommes d’Amir Abdou dans une position favorable, mais leur destin ne dépendait plus uniquement de leurs performances. Pour valider leur billet pour Maroc 2025, ils espéraient un succès de l’Égypte face au Botswana.
Or, les Pharaons, déjà qualifiés, ont été tenus en échec par les « Zèbres » (1-1), réduisant à néant les espoirs mauritaniens. Ce coup du sort rappelle surtout l’occasion manquée de Nouakchott, où la Mauritanie s’est inclinée face à l’Égypte (0-1). Ce match, longtemps équilibré, semblait se diriger vers un nul salvateur, avant que les Mourabitounes ne cèdent en fin de rencontre.
CHAN 2024 : le même scénario cruel
Quelques mois plus tôt, au CHAN 2024, la Mauritanie avait déjà connu pareille désillusion. Opposés à Madagascar réduit à dix, les Mourabitounes n’ont jamais trouvé la faille, manquant l’opportunité de faire un pas décisif vers la qualification. Derrière, la courte défaite face à la Tanzanie (0-1), concédée dans les dernières minutes, a aggravé la situation.
Certes, les victoires contre la Centrafrique et le Burkina Faso, acquises sur le strict minimum, avaient laissé espérer un dénouement heureux. Mais là encore, les Mourabitounes ont fini par s’en remettre à un miracle, comptant sur un Burkina déjà éliminé pour les aider indirectement. Comme en CAN, l’espoir fut vain.
Une leçon qui s’impose
De la CAN 2025 au CHAN 2024, le constat est le même : la Mauritanie s’est souvent retrouvée dépendante des résultats des autres. Une stratégie fragile, qui souligne une vérité implacable du football de haut niveau : il ne faut compter que sur soi-même.
Les Mourabitounes, en progrès sur la scène africaine, paient encore un déficit de réalisme et de constance. Les regrets sont immenses, mais l’expérience doit servir de leçon : pour écrire de nouvelles pages d’histoire, il faudra apprendre à sceller le destin par ses propres forces, et non attendre que d’autres équipes dictent l’issue du parcours.
CAN 2025 : le poids d’un nul manqué
La campagne mauritanienne s'était achevée, avec une victoire précieuse contre le Cap-Vert (1-0). Ce succès plaçait les hommes d’Amir Abdou dans une position favorable, mais leur destin ne dépendait plus uniquement de leurs performances. Pour valider leur billet pour Maroc 2025, ils espéraient un succès de l’Égypte face au Botswana.
Or, les Pharaons, déjà qualifiés, ont été tenus en échec par les « Zèbres » (1-1), réduisant à néant les espoirs mauritaniens. Ce coup du sort rappelle surtout l’occasion manquée de Nouakchott, où la Mauritanie s’est inclinée face à l’Égypte (0-1). Ce match, longtemps équilibré, semblait se diriger vers un nul salvateur, avant que les Mourabitounes ne cèdent en fin de rencontre.
CHAN 2024 : le même scénario cruel
Quelques mois plus tôt, au CHAN 2024, la Mauritanie avait déjà connu pareille désillusion. Opposés à Madagascar réduit à dix, les Mourabitounes n’ont jamais trouvé la faille, manquant l’opportunité de faire un pas décisif vers la qualification. Derrière, la courte défaite face à la Tanzanie (0-1), concédée dans les dernières minutes, a aggravé la situation.
Certes, les victoires contre la Centrafrique et le Burkina Faso, acquises sur le strict minimum, avaient laissé espérer un dénouement heureux. Mais là encore, les Mourabitounes ont fini par s’en remettre à un miracle, comptant sur un Burkina déjà éliminé pour les aider indirectement. Comme en CAN, l’espoir fut vain.
Une leçon qui s’impose
De la CAN 2025 au CHAN 2024, le constat est le même : la Mauritanie s’est souvent retrouvée dépendante des résultats des autres. Une stratégie fragile, qui souligne une vérité implacable du football de haut niveau : il ne faut compter que sur soi-même.
Les Mourabitounes, en progrès sur la scène africaine, paient encore un déficit de réalisme et de constance. Les regrets sont immenses, mais l’expérience doit servir de leçon : pour écrire de nouvelles pages d’histoire, il faudra apprendre à sceller le destin par ses propres forces, et non attendre que d’autres équipes dictent l’issue du parcours.