Les sportifs se mobilisent pour Babany Merzough
Victime d’une rupture des ligaments croisés, lors de la rencontre Chemal FC- ASC Entou (0-1), le 2 mars dernier, Babany Merzough traverse une passe difficile. Abandonné par son club , Babany a été laissé à son propre sort trois mois après sa grave blessure.
Son cas a ému le monde sportif. Dans une vidéo devenue virale, il a exprimé son désarroi sollicitant un appui de la FFRIM. “J’ai subi une blessure au ligament croisé avec l’équipe d’Entou Kiffa lors d’un match contre Chemal FC dans le cadre du championnat en mars dernier. Le club m’a abandonné et a refusé de prendre en charge mon traitement”, a-t-il retracé. “J’ai eu recours à mon oncle pour payer vingt mille MRO pour effectuer des examens IRM par l’intermédiaire du médecin de l’équipe nationale, qui ont confirmé ma blessure au ligament croisé”,a-t-il signalé.
“J’espère que la fédération de football interviendra pour me soigner ou obliger le club à assumer sa responsabilité. Trois mois se sont écoulés depuis ma blessure et je n’ai pas les moyens de me faire soigner”, a-t-il lancé.
Sensible à cette sollicitation, le monde sportif s’est mobilisé avec le lancement d’une campagne de collecte. Dirigeants et pratiquants ont fait parler leur cœur.
Son cas a ému le monde sportif. Dans une vidéo devenue virale, il a exprimé son désarroi sollicitant un appui de la FFRIM. “J’ai subi une blessure au ligament croisé avec l’équipe d’Entou Kiffa lors d’un match contre Chemal FC dans le cadre du championnat en mars dernier. Le club m’a abandonné et a refusé de prendre en charge mon traitement”, a-t-il retracé. “J’ai eu recours à mon oncle pour payer vingt mille MRO pour effectuer des examens IRM par l’intermédiaire du médecin de l’équipe nationale, qui ont confirmé ma blessure au ligament croisé”,a-t-il signalé.
“J’espère que la fédération de football interviendra pour me soigner ou obliger le club à assumer sa responsabilité. Trois mois se sont écoulés depuis ma blessure et je n’ai pas les moyens de me faire soigner”, a-t-il lancé.
Sensible à cette sollicitation, le monde sportif s’est mobilisé avec le lancement d’une campagne de collecte. Dirigeants et pratiquants ont fait parler leur cœur.