Super D1 : La FFRIM approuve l’intégration de deux clubs soudanais
La Fédération mauritanienne de football a donné son feu vert pour la participation de deux clubs soudanais (Al Merrikh et Al Hilal ) au championnat national de Super D1 dès la saison prochaine (2024-2025).
Dans la correspondance signée par son secrétaire général,M.Ahmedou Ould Mbeîrick, la fédération mauritanienne de football a informé les clubs Soudanais d’El-Hilal Ondurman et d’El-Merrikh de l'aval du gouvernement mauritanien les autorisant à jouer en SUPER D1, la saison prochaine. La FFRIM a également, indiqué qu’elle prendrait en charge les frais de séjour des équipes soudanaises en Mauritanie, ainsi que la mise à leur disposition de terrains d’entraînement et de moyens de transport interne.
Relativement au classement en fin de saison, le premier club local représentera la Mauritanie en Ligue des champions. Tandis que le premier club soudanais au classement représentera le Soudan en CAF Champions League.
La FfFRIM a déclaré qu’elle accueillerait volontiers des matches africains pour les deux équipes, sans engager de dépenses, à cet effet. Pour matérialiser cette décision, la fédération mauritanienne attend l’approbation de la Confédération Africaine de Football (CAF), pour sa mise en application.
Ces décisions ont suscité des grincements de dents. En l’absence de sponsors, les clubs mauritaniens éprouvent de sérieuses difficultés financières et peinent même à s’acquitter de leurs obligations salariales. Membre du comité exécutif de la FFRIM et président de Kaédi FC,M.Ba Kalidou a exprimé sa désapprobation jugeant ces mesures ,prises sans l’approbation des instances statutaires de la FFRIM ‘’anormales et incohérentes’’.
Jusqu’à récemment, les regards de ces deux colosses du football soudanais étaient tournés vers la Tanzanie, où ils envisageaient de participer à la NBC Premier League.
Cependant, après d’âpres négociations, des complications imprévues ont contraint les deux clubs à revoir leurs ambitions et à se tourner vers une nouvelle destination.
Les compétitions sportives au Soudan ont été suspendues, il y a plusieurs mois, en raison de l’état de guerre civile et des troubles sécuritaires dans le pays.
Dans la correspondance signée par son secrétaire général,M.Ahmedou Ould Mbeîrick, la fédération mauritanienne de football a informé les clubs Soudanais d’El-Hilal Ondurman et d’El-Merrikh de l'aval du gouvernement mauritanien les autorisant à jouer en SUPER D1, la saison prochaine. La FFRIM a également, indiqué qu’elle prendrait en charge les frais de séjour des équipes soudanaises en Mauritanie, ainsi que la mise à leur disposition de terrains d’entraînement et de moyens de transport interne.
Relativement au classement en fin de saison, le premier club local représentera la Mauritanie en Ligue des champions. Tandis que le premier club soudanais au classement représentera le Soudan en CAF Champions League.
La FfFRIM a déclaré qu’elle accueillerait volontiers des matches africains pour les deux équipes, sans engager de dépenses, à cet effet. Pour matérialiser cette décision, la fédération mauritanienne attend l’approbation de la Confédération Africaine de Football (CAF), pour sa mise en application.
Ces décisions ont suscité des grincements de dents. En l’absence de sponsors, les clubs mauritaniens éprouvent de sérieuses difficultés financières et peinent même à s’acquitter de leurs obligations salariales. Membre du comité exécutif de la FFRIM et président de Kaédi FC,M.Ba Kalidou a exprimé sa désapprobation jugeant ces mesures ,prises sans l’approbation des instances statutaires de la FFRIM ‘’anormales et incohérentes’’.
Jusqu’à récemment, les regards de ces deux colosses du football soudanais étaient tournés vers la Tanzanie, où ils envisageaient de participer à la NBC Premier League.
Cependant, après d’âpres négociations, des complications imprévues ont contraint les deux clubs à revoir leurs ambitions et à se tourner vers une nouvelle destination.
Les compétitions sportives au Soudan ont été suspendues, il y a plusieurs mois, en raison de l’état de guerre civile et des troubles sécuritaires dans le pays.