CHAN-2022 (Mauritanie-Mali): malheur au perdant
ORAN - L’heure de vérité sonne pour les sélections de Mauritanie et de Mali qui vont s’affronter mardi (16h00) au stade Miloud-Hadefi d’Oran avec comme enjeu le seul ticket de leur groupe D donnant accès aux quarts de finale de la 7e édition du Championnat d’Afrique des nations (CHAN) des joueurs locaux qui se tient en Algérie.
Après deux journées, aucune formation des trois équipes formant ce groupe n’a réussi à prendre le dessus. La preuve, les trois rencontres jouées jusque-là, ont été soldées par des nuls.
Mais comme l’Angola, l’autre équipe de la poule D, a consommé ses deux rencontres, elle n'a plus désormais son destin en mains, même si elle occupe provisoirement la première place du groupe.
Et pour éviter de recourir aux calculs ou même au tirage au sort pour départager les trois adversaires, la victoire devient une obligation pour le Mali et la Mauritanie, avec cependant un avantage en faveur des "Aigles maliens" pour avoir inscrit trois buts face à l’Angola (3-3). Les Mauritaniens, eux, se sont contentés d’un nul vierge contre ce même antagoniste vendredi passé.
D’ailleurs, l’entraineur des "Mourabitoune", Amir Eddine Abdou, s’est empressé à déclarer, à l’issue de la première sortie des siens, que ces derniers "détiennent leurs cartes en mains". Il sait néanmoins qu’il leur faudra, pour leur seconde sortie dans cette phase de poule, faire la différence pour espérer poursuivre l’aventure.
Mais l’adversaire du jour ne l’entend pas de cette oreille. Les Maliens, finalistes malheureux de la précédente édition du CHAN, tenue au Cameroun, ont l’ambition de prendre leur revanche sur le sort en faisant mieux en terre algérienne.
Cela passe évidemment par soulever le trophée. Mais avant cela, il leur faudra passer l’écueil des Mauritaniens dans cette "mini-finale" qui promet tant.
Le pari des protégés du sélectionneur Nouhoum Diané, qui se présentent mieux sur le plan physique par rapport à leur adversaire, puisqu’ils ont bénéficié d’une semaine de repos, tenteront pour l’occasion de réussir d’une pierre, deux coups : passer au prochain tour et mettre un terme à la série de 13 matchs d’invincibilité de la Mauritanie. Voilà qui donne plus de piments à cette affiche.
APS
Après deux journées, aucune formation des trois équipes formant ce groupe n’a réussi à prendre le dessus. La preuve, les trois rencontres jouées jusque-là, ont été soldées par des nuls.
Mais comme l’Angola, l’autre équipe de la poule D, a consommé ses deux rencontres, elle n'a plus désormais son destin en mains, même si elle occupe provisoirement la première place du groupe.
Et pour éviter de recourir aux calculs ou même au tirage au sort pour départager les trois adversaires, la victoire devient une obligation pour le Mali et la Mauritanie, avec cependant un avantage en faveur des "Aigles maliens" pour avoir inscrit trois buts face à l’Angola (3-3). Les Mauritaniens, eux, se sont contentés d’un nul vierge contre ce même antagoniste vendredi passé.
D’ailleurs, l’entraineur des "Mourabitoune", Amir Eddine Abdou, s’est empressé à déclarer, à l’issue de la première sortie des siens, que ces derniers "détiennent leurs cartes en mains". Il sait néanmoins qu’il leur faudra, pour leur seconde sortie dans cette phase de poule, faire la différence pour espérer poursuivre l’aventure.
Mais l’adversaire du jour ne l’entend pas de cette oreille. Les Maliens, finalistes malheureux de la précédente édition du CHAN, tenue au Cameroun, ont l’ambition de prendre leur revanche sur le sort en faisant mieux en terre algérienne.
Cela passe évidemment par soulever le trophée. Mais avant cela, il leur faudra passer l’écueil des Mauritaniens dans cette "mini-finale" qui promet tant.
Le pari des protégés du sélectionneur Nouhoum Diané, qui se présentent mieux sur le plan physique par rapport à leur adversaire, puisqu’ils ont bénéficié d’une semaine de repos, tenteront pour l’occasion de réussir d’une pierre, deux coups : passer au prochain tour et mettre un terme à la série de 13 matchs d’invincibilité de la Mauritanie. Voilà qui donne plus de piments à cette affiche.
APS