Fédération Mauritanienne de Hand Ball : le contentieux perdure, le MCJSRP interpelé
Le contentieux opposant depuis deux ans et demi le président de la fédération mauritanienne de Hand ball à neuf membres de son comité directeur refait surface. Porté à maintes reprises à la connaissance du ministère de la Jeunesse et des Sports, le contentieux n'a pas encore été résolu.
Medoune Adama Diop , secrétaire général de la fédération et tête de file de la contestation a profité de l'assemblée générale ordinaire et extraordinaire du CNOSM pour attirer l’attention des autorités sur ce litige.
La fédération mauritanienne de Hand ball continue de traverser une zone de turbulences. Deux ans et demi de crises internes ont fini par faire plonger dans les abîmes l'association. Aucune activité n'a été organisée durant cette période. Le dernier Challenge trophée dames en 2019 est la dernière manifestation organisée par la fédération. ''Après les félicitations reçues lors du Challenge Trophy hommes de 2018, ‘’pour la bonne organisation de la compétition’’, un blâme fut adressé à la FMH,suite au Challenge des dames.
Un blocage préjudiciable à une discipline qui avait pignon sur rue et permis au pays de se hisser sur le podium sous régional'', peste-t-on.
Neuf membres sur 14 signataires de la motion de défiance contre Nagi Ould Ichiddou président de la fédération, appellent le ministère de la Culture, de la Jeunesse, des Sports et des Relations avec le parlement (MCJSRP) à "prendre ses responsabilités ". "Il urge de trancher ce différend et à rétablir la légalité ", réclame Medoune Adama Diop. "Nous dénonçons cet état de fait. En dépit de nos bonnes dispositions pour un règlement définitif, la partie adverse n'a jamais fait preuve de bonne volonté", déplore Diop. Il cite la nomination des présidents de Ligues régionales sans la convocation d'assemblées générale élective. "Nous ne pouvions pas accepter l'installation de ces structures illégales mises en place à des fins électoralistes. D’ailleurs, le département de tutelle les avait récusées", fait remarquer Medoune.Il existe six Ligues (Nouakchott, Brakna, Assaba,HodhCharghi,Trarza,Gorgol ) .
Medoune Adama Diop regrette l'impasse enregistrée ces dernières années qui, soutient-il, portera un coup de massue à une discipline qui avait pris de l'envol. "Nous avions le niveau du Sénégal et de la Guinée. Deux ans et demi d'imbroglio ont fini par rétrograder le pays. Soucieux du développement de la discipline et de faire retrouver au pays son lustre d'antan, nous ne pouvions laisser planer le statut quo. Il va falloir beaucoup d'efforts pour remettre tout sur les rails ", affirme-t-il. Et de terminer ,"il n'y a rien de personnel dans ce contentieux. Nous ne sommes pas contre Nagi.Mais contre sa façon de gérer et de diriger la fédération ".
Medoune Adama Diop , secrétaire général de la fédération et tête de file de la contestation a profité de l'assemblée générale ordinaire et extraordinaire du CNOSM pour attirer l’attention des autorités sur ce litige.
La fédération mauritanienne de Hand ball continue de traverser une zone de turbulences. Deux ans et demi de crises internes ont fini par faire plonger dans les abîmes l'association. Aucune activité n'a été organisée durant cette période. Le dernier Challenge trophée dames en 2019 est la dernière manifestation organisée par la fédération. ''Après les félicitations reçues lors du Challenge Trophy hommes de 2018, ‘’pour la bonne organisation de la compétition’’, un blâme fut adressé à la FMH,suite au Challenge des dames.
Un blocage préjudiciable à une discipline qui avait pignon sur rue et permis au pays de se hisser sur le podium sous régional'', peste-t-on.
Neuf membres sur 14 signataires de la motion de défiance contre Nagi Ould Ichiddou président de la fédération, appellent le ministère de la Culture, de la Jeunesse, des Sports et des Relations avec le parlement (MCJSRP) à "prendre ses responsabilités ". "Il urge de trancher ce différend et à rétablir la légalité ", réclame Medoune Adama Diop. "Nous dénonçons cet état de fait. En dépit de nos bonnes dispositions pour un règlement définitif, la partie adverse n'a jamais fait preuve de bonne volonté", déplore Diop. Il cite la nomination des présidents de Ligues régionales sans la convocation d'assemblées générale élective. "Nous ne pouvions pas accepter l'installation de ces structures illégales mises en place à des fins électoralistes. D’ailleurs, le département de tutelle les avait récusées", fait remarquer Medoune.Il existe six Ligues (Nouakchott, Brakna, Assaba,HodhCharghi,Trarza,Gorgol ) .
Medoune Adama Diop regrette l'impasse enregistrée ces dernières années qui, soutient-il, portera un coup de massue à une discipline qui avait pris de l'envol. "Nous avions le niveau du Sénégal et de la Guinée. Deux ans et demi d'imbroglio ont fini par rétrograder le pays. Soucieux du développement de la discipline et de faire retrouver au pays son lustre d'antan, nous ne pouvions laisser planer le statut quo. Il va falloir beaucoup d'efforts pour remettre tout sur les rails ", affirme-t-il. Et de terminer ,"il n'y a rien de personnel dans ce contentieux. Nous ne sommes pas contre Nagi.Mais contre sa façon de gérer et de diriger la fédération ".