Le champion de Mauritanie privilégie la ligue arabe des champions (dirigeant)
L’ASAC Concorde de Nouakchott, championne de Mauritanie 2017, compte jeter son dévolu sur la Ligue arabe des champions qui offre plus d’avantages sur le plan financier, en dépit des réformes promises dans les compétitions africaines interclubs de football, a annoncé son président, El Hadj Sy.
"Nous avons les deux possibilités, jouer la Ligue africaine ou celle arabe des champions, et nous préférons la seconde option qui offre plus de retombées financières", a indiqué le dirigeant mauritanien dans un entretien avec l’APS.
Le président du champion de Mauritanie 2017, qui est par ailleurs Trésorier général de la Fédération mauritanienne de football (FFRIM), faisait partie des invités au symposium organisé par la Confédération africaine de football (CAF) à Rabat (Maroc), la semaine dernière (18-19 juillet).
Au cours de cette rencontre, un atelier a porté sur la réforme des compétitions interclubs, qui devraient devenir désormais plus intéressantes pour les clubs qualifiés pour la phase de poules.
Avec la Ligue arabe des champions, "en plus de percevoir de l’argent à chaque tour, il y a une possibilité d’exposer nos joueurs qui peuvent signer dans les championnats très lucratifs", a dit le dirigeant mauritanien.
En Ligue arabe des champions, "vous êtes entièrement pris en charge et après chaque tour passé, on peut engranger 200 à 300.000 dollars", c’est-à-dire entre 100 et 160 millions de francs CFA, a expliqué le dirigeant mauritanien.
En cas de qualification pour la phase de poules, "c’est 700.000 dollars qui tombent dans les caisses’’, soit plus de 390 millions de francs CFA, a-t-il précisé.
"Ce n’est pas le cas en Ligue africaine des champions où on se prend en charge totalement et où les retombées ne commencent qu’en cas de qualification en phase de poules", a-t-il souligné.
S’il reconnaît que depuis 4-5 ans, les clubs mauritaniens, en choisissant de jouer dans la Ligue arabe des champions, gagnent économiquement, il est d’avis qu’en retour, ils perdent autant sur la compétitivité des joueurs.
Il reste que "quand on doit se prendre en charge totalement et qu’on n’a pas assez de moyens, le choix est vite fait jusqu’à nouvel ordre", en dépit des réformes promises, a-t-il par ailleurs ajouté.
Source: APS
"Nous avons les deux possibilités, jouer la Ligue africaine ou celle arabe des champions, et nous préférons la seconde option qui offre plus de retombées financières", a indiqué le dirigeant mauritanien dans un entretien avec l’APS.
Le président du champion de Mauritanie 2017, qui est par ailleurs Trésorier général de la Fédération mauritanienne de football (FFRIM), faisait partie des invités au symposium organisé par la Confédération africaine de football (CAF) à Rabat (Maroc), la semaine dernière (18-19 juillet).
Au cours de cette rencontre, un atelier a porté sur la réforme des compétitions interclubs, qui devraient devenir désormais plus intéressantes pour les clubs qualifiés pour la phase de poules.
Avec la Ligue arabe des champions, "en plus de percevoir de l’argent à chaque tour, il y a une possibilité d’exposer nos joueurs qui peuvent signer dans les championnats très lucratifs", a dit le dirigeant mauritanien.
En Ligue arabe des champions, "vous êtes entièrement pris en charge et après chaque tour passé, on peut engranger 200 à 300.000 dollars", c’est-à-dire entre 100 et 160 millions de francs CFA, a expliqué le dirigeant mauritanien.
En cas de qualification pour la phase de poules, "c’est 700.000 dollars qui tombent dans les caisses’’, soit plus de 390 millions de francs CFA, a-t-il précisé.
"Ce n’est pas le cas en Ligue africaine des champions où on se prend en charge totalement et où les retombées ne commencent qu’en cas de qualification en phase de poules", a-t-il souligné.
S’il reconnaît que depuis 4-5 ans, les clubs mauritaniens, en choisissant de jouer dans la Ligue arabe des champions, gagnent économiquement, il est d’avis qu’en retour, ils perdent autant sur la compétitivité des joueurs.
Il reste que "quand on doit se prendre en charge totalement et qu’on n’a pas assez de moyens, le choix est vite fait jusqu’à nouvel ordre", en dépit des réformes promises, a-t-il par ailleurs ajouté.
Source: APS