Coopté à la CAF, Ahmed Ould Yahya honoré par ses pairs
La famille du football mauritanien a fêté en grande pompe, ce jeudi 18 mai, la cooptation de son président Ahmed Ould Yahya, au sein du comité exécutif de la CAF.
Anciens dirigeants, anciens pratiquants, personnalités politiques(Ahmed Ould Hamza,ex président de la Communauté Urbaine de Nouakchott), cadres du ministère de la Jeunesse et des Sports, techniciens, administrateurs, responsables de clubs et membres des différentes instances fédérales, parents et « petite famille » ont tenu à l’unisson à magnifier la cérémonie de remise de distinction au président de la FFRIM.
Sur un ton émouvant,Moussa Ould Khaïri , premier vice-président a replacé l’événement dans son contexte : « la famille du football mauritanien-toutes composantes confondues-a décidé unanimement et dans un élan, on ne peut plus spontané de me faire l’honneur, le droit et le devoir de témoigner sa reconnaissance au président de la FFRIM,notre frère Ahmed Ould Yahya pour sa cooptation en qualité de membre du Comité Exécutif de la Confédération Africaine de Football, au cours de l’Assemblée Générale extraordinaire de l’instance continentale, tenue le 8 mai, à Manama».
« Au-delà de sa personne, cet insigne honneur s’adresse d’abord, indique Moussa, à nous tous membres de la famille du football national, mais aussi à tous les mauritaniens à quelque niveau qu’ils se situent, car c’est la toute première fois de l’histoire sportive de notre pays qu’un mauritanien siège au Comité Exécutif de la CAF ».
Pour Moussa Ould Khaïri, « en accédant le 28 juillet 2011, à la tête de la FFRIM, à l’issue d’élections transparentes, Ahmed Ould Yahya n’était pas forcément, du moins pour certains, l’homme de l’évidence. Le temps et les réalisations ont prouvé, par la suite, que plus qu’un homme de l’évidence, Ahmed était aussi l’homme de la providence, celui-là même par qui devait venir le salut du football mauritanien après tant d’années de léthargie. Tant mieux pour le football mauritanien ».
De réforme en réforme, nous comptons, estime le premier vice président, aujourd’hui parmi les fédérations les mieux structurées du continent avec des textes modernes, un mentorat clair et défini, des équipes nationales qui compétissent et réalisant des résultats probants, des compétitions nationales régulières et des infrastructures performantes à la mesure des ambitions »,dit-il.
« Localement et sur le plan international, de telles prouesses, ne peuvent passer inaperçues, à en croire Moussa Ould Khaïri. Aussi bien au sein de la FIFA qu’à la CAF, le président Ahmed jouit d’une immense estime et d’une considération inégalée pour sa probité et son attachement aux valeurs que véhicule le football ».
Élevé au rang de chevalier de l’ordre du mérite national en 2016, le voilà aujourd’hui, fait remarquer Ould Khaïri, dans la plus haute sphère de la Confédération Africaine de Football.A travers sa personne, la Mauritanie sera désormais présente dans les centres de décision du football africain et mondial ».
Cette reconnaissance et cette aura internationales sont, aux yeux du premier vice-président, des atouts que le président Ahmed, loin de vouloir les exploiter à des fins personnelles, les met à la disposition d’un projet qui lui est tant cher :le développement du football mauritanien ».Il terminera son propos en le baptisant dorénavant : « fierté nationale ».
Ému par ce que le vice président Moussa Ould Khaïry a qualifié d’ « occasion à la fois rarissime et émouvante » , avec la présence surprise de ses parents et de sa famille(épouse et enfants),Ahmed Ould Yahya, se retrouvant dans la position inédite d’invité à la FFRIM, avait du mal à articuler son propos chevauchant de l’arabe au français et vice versa. Il finira tout de même par retrouver le (bon)bout de son propos. Il mettra en relief les sacrifices consentis par ses différents successeurs qui des années durant ont servi le football, les différentes personnalités, le sponsor, les membres du bureau exécutif, autres officiels et la presse sportive.
En dépit du travail accompli, Ahmed Ould Yahya mesure le chemin à parcourir « pour arriver à bon port » articulant que la réussite du football requiert une compétitivité, une structuration afin de lui permettre d’être dignement représenté ». Sa pensée particulière ira à Fall Thierno, ancien président de la FFRIM, actuellement hospitalisé. Ould Yahya formulera des prières et des vœux de rétablissement.
La sympathique cérémonie s’est achevée autour des congratulations et autres félicitations autour d’un cocktail.
Anciens dirigeants, anciens pratiquants, personnalités politiques(Ahmed Ould Hamza,ex président de la Communauté Urbaine de Nouakchott), cadres du ministère de la Jeunesse et des Sports, techniciens, administrateurs, responsables de clubs et membres des différentes instances fédérales, parents et « petite famille » ont tenu à l’unisson à magnifier la cérémonie de remise de distinction au président de la FFRIM.
Sur un ton émouvant,Moussa Ould Khaïri , premier vice-président a replacé l’événement dans son contexte : « la famille du football mauritanien-toutes composantes confondues-a décidé unanimement et dans un élan, on ne peut plus spontané de me faire l’honneur, le droit et le devoir de témoigner sa reconnaissance au président de la FFRIM,notre frère Ahmed Ould Yahya pour sa cooptation en qualité de membre du Comité Exécutif de la Confédération Africaine de Football, au cours de l’Assemblée Générale extraordinaire de l’instance continentale, tenue le 8 mai, à Manama».
« Au-delà de sa personne, cet insigne honneur s’adresse d’abord, indique Moussa, à nous tous membres de la famille du football national, mais aussi à tous les mauritaniens à quelque niveau qu’ils se situent, car c’est la toute première fois de l’histoire sportive de notre pays qu’un mauritanien siège au Comité Exécutif de la CAF ».
Pour Moussa Ould Khaïri, « en accédant le 28 juillet 2011, à la tête de la FFRIM, à l’issue d’élections transparentes, Ahmed Ould Yahya n’était pas forcément, du moins pour certains, l’homme de l’évidence. Le temps et les réalisations ont prouvé, par la suite, que plus qu’un homme de l’évidence, Ahmed était aussi l’homme de la providence, celui-là même par qui devait venir le salut du football mauritanien après tant d’années de léthargie. Tant mieux pour le football mauritanien ».
De réforme en réforme, nous comptons, estime le premier vice président, aujourd’hui parmi les fédérations les mieux structurées du continent avec des textes modernes, un mentorat clair et défini, des équipes nationales qui compétissent et réalisant des résultats probants, des compétitions nationales régulières et des infrastructures performantes à la mesure des ambitions »,dit-il.
« Localement et sur le plan international, de telles prouesses, ne peuvent passer inaperçues, à en croire Moussa Ould Khaïri. Aussi bien au sein de la FIFA qu’à la CAF, le président Ahmed jouit d’une immense estime et d’une considération inégalée pour sa probité et son attachement aux valeurs que véhicule le football ».
Élevé au rang de chevalier de l’ordre du mérite national en 2016, le voilà aujourd’hui, fait remarquer Ould Khaïri, dans la plus haute sphère de la Confédération Africaine de Football.A travers sa personne, la Mauritanie sera désormais présente dans les centres de décision du football africain et mondial ».
Cette reconnaissance et cette aura internationales sont, aux yeux du premier vice-président, des atouts que le président Ahmed, loin de vouloir les exploiter à des fins personnelles, les met à la disposition d’un projet qui lui est tant cher :le développement du football mauritanien ».Il terminera son propos en le baptisant dorénavant : « fierté nationale ».
Ému par ce que le vice président Moussa Ould Khaïry a qualifié d’ « occasion à la fois rarissime et émouvante » , avec la présence surprise de ses parents et de sa famille(épouse et enfants),Ahmed Ould Yahya, se retrouvant dans la position inédite d’invité à la FFRIM, avait du mal à articuler son propos chevauchant de l’arabe au français et vice versa. Il finira tout de même par retrouver le (bon)bout de son propos. Il mettra en relief les sacrifices consentis par ses différents successeurs qui des années durant ont servi le football, les différentes personnalités, le sponsor, les membres du bureau exécutif, autres officiels et la presse sportive.
En dépit du travail accompli, Ahmed Ould Yahya mesure le chemin à parcourir « pour arriver à bon port » articulant que la réussite du football requiert une compétitivité, une structuration afin de lui permettre d’être dignement représenté ». Sa pensée particulière ira à Fall Thierno, ancien président de la FFRIM, actuellement hospitalisé. Ould Yahya formulera des prières et des vœux de rétablissement.
La sympathique cérémonie s’est achevée autour des congratulations et autres félicitations autour d’un cocktail.