ASAC Concorde : Lassana étale son amertume

Le rêve de l'ASAC Concorde a viré au cauchemar. Alors que le Club mythique, leader de la Super D2 (Zone Nouakchott) avait son destin au bout de ses pieds. Tout s'est sabordé lors du sprint final. Les concordiens ayant évité la défaite lors des ultime minutes de la partie en rétablissant l’équilibre face au Fc Brakna (1-1), ratent la qualification aux play offs de la montée en Super D1. L’état du terrain de l'armée en défectueux état est pointé du doigt. Tout comme l'arbitrage. Le paradoxe découle de l'acceptation par les dirigeants et le staff d'un terrain aux allures de champs de ruines. Pourquoi aucune opposition du choix de ce terrain n’a été faite auprès du département des compétitions nationales ? Comment se fait- il que tous les prétendants n'ont pas bénéficié du même traitement auprès de cette instance supposée être impartiale ? Pourquoi le président de l'ASAC Concorde, troisième vice-président de la FFRIM-qui s’est signalé par une pique cachée à la fin du match sur face book- n'est-il pas intervenu pour son équipe ne serait-ce que pour l'équité ? Ce tacle glissé à l’attention des instances présume-t-il d’une rupture, d’un sentiment de dégoût ou d’une perte d’influence ? Autant de questions qui se posent.
Force est de constater que la douleur est immense au sein de l'équipe. Abattu, l'entraîneur Lassana Cissokho a confié son amertume sur les réseaux sociaux :
‘’Aujourd'hui, mon histoire fait mal. J'étais sur le point de réaliser une partie de mon rêve. Ma première espérance avec l'équipe seniors mais malheureusement j'ai échoué tant de sacrifice. Le bon Dieu me suffit pour témoin. J’ai perdu ma vie, mon temps, mon énergie etc.… j'ai rêvé d'amener ce club ASAC concorde à la place qu'il mérite. Je suis tellement déçu et en colère contre moi même. Car je suis un compétiteur. Je déteste la défaite mais c'est ainsi la vie. L’homme propose Dieu dispose. On ne peut pas avoir tout ce qu'on veut. Mais, j’ai retenu la leçon Je tiens â remercier le bon Dieu qui m'a facilité la tâche jusqu'à la. Je remercie mon staff et mes joueurs qui ont tout donné pour moi. Et enfin, les gens qui me soutiennent de près ou de loin. Félicitations aux deux entraîneurs que j'admire beaucoup Taleb et Oumar Ndiaye. Je souhaite une bonne chance à l’académie NAF et ASC police aux play-offs"", a terminé le jeune technicien dont la réaction a suscité un tonnerre de compassion, d’encouragement.
Jeune éducateur,Cissokho qui a formé plusieurs générations de footballeurs n’a jusque- présents pas bénéficie d’une reconnaissance nationale sur les dunes de sable. Son talent ne semble pas peser dans la balance d’une FFRIM. Il ne bénéficie pas d'appuis solides à l'image de ses pairs pistonnés au sein des sélections nationales de petites catégories.
Force est de constater que la douleur est immense au sein de l'équipe. Abattu, l'entraîneur Lassana Cissokho a confié son amertume sur les réseaux sociaux :
‘’Aujourd'hui, mon histoire fait mal. J'étais sur le point de réaliser une partie de mon rêve. Ma première espérance avec l'équipe seniors mais malheureusement j'ai échoué tant de sacrifice. Le bon Dieu me suffit pour témoin. J’ai perdu ma vie, mon temps, mon énergie etc.… j'ai rêvé d'amener ce club ASAC concorde à la place qu'il mérite. Je suis tellement déçu et en colère contre moi même. Car je suis un compétiteur. Je déteste la défaite mais c'est ainsi la vie. L’homme propose Dieu dispose. On ne peut pas avoir tout ce qu'on veut. Mais, j’ai retenu la leçon Je tiens â remercier le bon Dieu qui m'a facilité la tâche jusqu'à la. Je remercie mon staff et mes joueurs qui ont tout donné pour moi. Et enfin, les gens qui me soutiennent de près ou de loin. Félicitations aux deux entraîneurs que j'admire beaucoup Taleb et Oumar Ndiaye. Je souhaite une bonne chance à l’académie NAF et ASC police aux play-offs"", a terminé le jeune technicien dont la réaction a suscité un tonnerre de compassion, d’encouragement.
Jeune éducateur,Cissokho qui a formé plusieurs générations de footballeurs n’a jusque- présents pas bénéficie d’une reconnaissance nationale sur les dunes de sable. Son talent ne semble pas peser dans la balance d’une FFRIM. Il ne bénéficie pas d'appuis solides à l'image de ses pairs pistonnés au sein des sélections nationales de petites catégories.




